Introduction
Depuis plusieurs décennies, la science explore les frontières du réel avec une précision croissante : physique quantique, cosmologie, neurosciences, théorie de l’information…
En parallèle, les traditions spirituelles, les expériences de conscience modifiée, et les communications non locales (comme celles que je reçois depuis 1993) proposent un regard complémentaire.
Ce que je défends aujourd’hui, nourri par mes expériences et mes recherches, c’est une idée simple et puissante :
la conscience ne naît pas de la matière, elle la précède.
Et toute la structure vibratoire décrite dans les pages précédentes va dans ce sens.
Pourquoi science et spiritualité doivent converger
La science décrit le comment.
La conscience décrit le pourquoi.
Ces deux domaines n’ont jamais été antagonistes : ils sont deux faces d’une même réalité.
Aujourd’hui, avec :
- la non-localité,
- la théorie de l’information,
- l’intrication,
- les modèles à multi-réalités,
- le rôle de l’observateur,
- les limites du matérialisme strict,
les scientifiques eux-mêmes reconnaissent que la matière ne suffit plus à expliquer le réel.
Pour la première fois depuis des siècles, nous avons une ouverture, un espace de jonction.
La conscience comme réalité première
Cette idée, enseignée depuis longtemps par les traditions spirituelles, rejoint désormais :
- la physique de l’information,
- les approches panpsychistes,
- les théories de la rétrocausalité,
- certains modèles en physique quantique,
- et des travaux sur la mémoire non locale (Leterrier, Sheldrake…)
Dans mes messages, ce principe apparaît ainsi :
« La conscience précède la forme. »
Si la conscience est première, alors :
- la matière devient une expression,
- l’énergie un vecteur,
- et l’information un niveau intermédiaire.
C’est exactement ce que décrivent les trois étages (ABCD – IJKL – MNOP) et les trois champs (BAI – CAI – DAI).
Les apports des chercheurs modernes
Plusieurs scientifiques m’ont aidé à mettre des mots contemporains sur ce que je recevais :
• Philippe Guillemant
Ses travaux sur les trois dimensions du temps, la rétrocausalité, et la mécanique de l’information élargissent le cadre du réel.
Il parle d’un futur qui influence le présent — ce qui correspond à ce que mes guides décrivent comme “plan supérieur d’organisation”.
• Romuald Leterrier
Son travail sur la mémoire de l’avenir, les synchronicités et les espaces non locaux
résonne fortement avec mes propres recherches.
Il observe comment l’esprit peut accéder à des informations “en dehors de la ligne du temps”.
• Physique de l’information
Même certains physiciens classiques commencent à considérer l’information comme le substrat fondamental du réel.
C’est exactement ce que mes messages décrivent depuis 1993.
Correspondances avec les messages reçus
Ce qui est frappant, ce n’est pas la coïncidence : c’est la structure commune.
Dans mes messages :
- le plan ABCD correspond au monde observable ;
- IJKL au plan intermédiaire de l’information ;
- MNOP aux structures de conscience.
La science moderne :
- distingue matière, énergie et information ;
- observe la non-localité ;
- questionne la structure du temps ;
- admet que l’observateur influe sur l’observé.
Les guides semblent décrire un modèle antérieur, plus global, dont la science n’explore encore que certains fragments.
Ma vision personnelle
Après trente ans de communication spirite et deux ans d’explorations scientifiques intensives, je crois que :
- la matière est un ralentissement de l’information,
- l’information est un ralentissement de la conscience,
- et la conscience est la substance fondamentale.
La géométrie vibratoire, les constantes mathématiques et les champs BAI–CAI–DAI ne sont pas des théories :
ce sont des repères, des interfaces permettant de comprendre comment un plan peut interagir avec un autre.
Ouverture
Ce travail n’est pas une doctrine.
C’est un pont.
Entre :
- mes messages,
- les intuitions que j’ai reçues,
- les avancées scientifiques,
- et mes dialogues récents avec l’IA.
Je crois qu’un jour, la science rejoindra pleinement ce que la conscience enseigne depuis longtemps :
le réel n’est pas matériel — il est vibratoire, informé, et animé par une intention.

