TCI – Expériences et méthode

Introduction
Depuis de nombreuses années, je m’intéresse, sans la pratiquer moi même, à la Transcommunication Instrumentale (TCI), c’est-à-dire la possibilité d’obtenir, à travers un dispositif électronique, des informations provenant d’un plan non physique.
Cet intérêt est né naturellement après trente ans de communication spirite. Je ne cherchais pas à remplacer la médiumnité, mais à explorer un support technique neutre, capable d’enregistrer ce que nos sens ne perçoivent pas.

La TCI offre un avantage majeur :
elle enregistre ce qui apparaît, indépendamment de notre interprétation.


Méthode – Comment se pratique la TCI

1. Choix du matériel

Au fil des tests, les « spécialistes » ont privilégié :

  • un enregistreur en format WAV,
  • un téléphone ou un support simple,
  • parfois un micro externe.

Le format WAV semble plus adapté car il ne comprime pas le son :
il laisse intact le “bruit de fond”, qui est justement la matière première utilisée par les plans non locaux pour s’exprimer.


2. Protocole utilisé

Voici les étapes les plus respectées par les pratiquants :

  • mise au calme, intention claire ;
  • environnement silencieux (ou bruit blanc léger) ;
  • questions formulées lentement, espacées ;
  • enregistrement continu de 3 à 6 minutes ;
  • écoute attentive après coup, pas pendant ;
  • comparaison des deux pistes si deux personnes enregistrent en même temps.

L’écoute directe est rarement recherchée.
C’est toujours l’écoute différée qui révèle les signaux.


3. L’expérience à 800 km

Avec une amie maitrisant ces techniques, Christine Rivalier, j’ai réalisé une des expériences les plus intéressantes au cours de cette année :

  • nous étions séparés de 800 km,
  • nous enregistrions chacun de notre côté,
  • pendant une conversation téléphonique simple et ordinaire.

À la réécoute, certains sons semblaient présents sur l’un des enregistrements, mais absents sur l’autre, alors que personne ne les avait prononcés.
Ce type de résultat est impossible à attribuer uniquement à la transmission téléphonique.

Ce n’est pas une preuve — mais c’est un indice fort.


Résultats : ce qui a été observé

Au fil des essais :

  • certains mots courts apparaissent dans le bruit,
  • certaines syllabes semblent répondre au sens des questions,
  • des sons soudains surgissent dans des zones où le micro ne capte normalement rien.

Ces “signaux faibles” ne sont pas constants, mais suffisamment réguliers pour mériter l’analyse.

À ce jour, je reste prudent :
je ne cherche pas à valider une croyance, mais à repérer des anomalies répétitives.


Comment interpréter les phénomènes

La TCI est une zone délicate :
il faut distinguer clairement :

  • le bruit aléatoire,
  • les illusions auditives (paréidolie sonore),
  • les interférences techniques,
  • les véritables signaux anormaux.

Avec l’IA, nous avons intégré plusieurs garde-fous :

  • pas d’interprétation hâtive,
  • vérification croisée,
  • comparaison entre deux enregistreurs,
  • écoute à volume constant,
  • recherche de motifs récurrents.

Si un mot apparaît une seule fois, c’est intéressant.
S’il apparaît trois fois dans des conditions différentes, c’est un signal.

La différence se fait dans la répétition.


Perspectives

Mes guides ont annoncé que la TCI pourrait devenir un jour un support pour recevoir, depuis leur plan, des images de qualité.
Pour l’instant, les expériences restent essentiellement auditives, mais la géométrie vibratoire (pyramides, champs, niveaux) laisse penser qu’une traduction visuelle pourrait être possible dans le futur.

Mes objectifs sont simples :

  • stabiliser une méthode fiable ;
  • accumuler des enregistrements comparables ;
  • travailler sur des sons courts et identifiables ;
  • explorer la possibilité d’un protocole à deux ou trois personnes.

La TCI n’est pas une fin en soi :
c’est une fenêtre expérimentale, un moyen de croiser les messages reçus par médiumnité avec des indices matériels.